Injection d'aérosols stratosphériques au moyen d'additifs pour carburant d'aviation !
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Injection de particules et d'aérosols stratosphériques réfléchissants au moyen d'additifs pour carburant d'aviation !
Diverses suggestions ont été faites sur le choix de particules ou d'aérosols stratosphériques pour simuler l'effet de refroidissement observé lors d'éruptions volcaniques majeures. Le plus connu est le dioxyde de soufre dont la proposition détaillée vient de Paul Crutzen.
Une autre proposition longuement discutée est la terre diatomées, injectées comme des diatomées individuels. (Particules de silice provenant de coquilles marines.) Ce document décrit la sélection des produits chimiques qui pourraient être utilisés comme additifs au carburant d'aviation et les essais préliminaires pour distribuer ces deux produits, le dioxyde de soufre et les micros particules de silice, à partir d'un avion de haute altitude commerciale ou militaire.
Les deux produits chimiques testés sont le sulfure de diméthyle pour produire du dioxyde de soufre et le silicate d'éthyle (tetra ethyl silicate) pour
produire des particules de silice. Dans un bocal en verre fermé les deux produits chimiques sont indiscernables du carburant d'un avion à
réaction.
Les deux sont claires, incolores et liquides (huileux). Les deux se dissolvent dans le carburant d'aviation en toute proportion. La solutions pour chacun de
ces produits chimiques a été de les brûler dans un chalumeau de paraffine comme une simple simulation d'une chambre de combustion de moteurs à réaction.
Les observations de la combustion suggèrent que les produits chimiques souhaités sont produits et que les particules de silice deviennent des particules de
fumée ou de brouillard (taille: micron). Il est suggéré que les solutions n'auraient probablement aucun effet nuisible sur les réservoirs à carburant, tuyaux, pompes
ou chambres de combustion du moteur à réaction.
Ce document comprend des faits généraux sur les moteurs à réaction, le carburant d'aviation, les systèmes de carburant des aéronefs et des plans de vol qui
ne peut être connu des scientifiques du climat. Sont aussi brièvement examinées les conséquences sur la santé des particules de silice dans la stratosphère. Aucun essai n'a été effectué sur
un moteur à réaction. Des suggestions sont faites sur le type de tests qui seraient nécessaires de faire par un organisme disposant d'installations de moteurs d'essais statiques.
Source: http://adsabs.harvard.edu/abs/2007AGUFMGC33A0935G
Injection de particules et d'aérosols stratosphériques réfléchissants au moyen d'additifs pour carburant d'aviation ! (Suite)
Nous voudrions brûler le combustible contenant l'additif spécifique lorsque l'avion est en croisière dans la stratosphère. Évidemment, nous ne voulons pas
libérer ces produits à d'autres phases de vol de sorte qu'il n'est pas suggéré qu'un additif devrait être mis systématiquement dans le
carburant d'aviation.
Les informations suivantes proviennent d'un capitaine de 747-400 volant régulièrement de l'Extrême-Orient vers l'Europe et sur la côte ouest des États-Unis.
Étant proche de la retraite, et ayant débuté sa carrière avec la RAF, il décrit le plan de vol fourni pour un long vol maintenant comme
étonnamment complet et précis. Ces plans reposent sur une connaissance détaillée des conditions météorologiques le long du parcours, y compris toute baisse des vents
stratosphériques.
En outre, il me dit qu'il est parfaitement possible pour le pilote de sélectionner, par exemple, le réservoir externe de l'aile tribord pour alimenter le
moteur tribord extérieur à un moment donné pendant le vol.
Il semblerait donc être tout à fait possible de mettre l'additif dans un seul réservoir et d'utiliser ce réservoir lorsque l'avion a été défini dans le plan
de vol pour être dans la stratosphère. L'altitude de croisière varie entre environ 30 et 40 000 pi (9 à 12 km). La limite inférieure de la
stratosphère varie d'environ 20 000 pi (6 km) à proximité du pôle à près de 55 000 pieds (17 km) à certains moments sur l'équateur. Ces
hauteurs varient aussi considérablement selon les conditions météorologiques ainsi une planification minutieuse du plan de vol serait évidemment nécessaire.
Pour les phases de tests, les avions commerciaux ne serait bien sûr pas utilisés. Au lieu de cela il est probable que des avions militaires pourraient être
mis à disposition. Si c'est le cas, l'injection pourrait être fait à des altitudes plus élevées que ce qui serait possible avec la
plupart des avions commerciaux. Le B-52, par exemple, vole jusqu'à 50.000 pieds (15 km). Un tel avion aurait probablement aussi un
arrangement militaire de réservoirs à carburant avec quelques réservoirs plus petits de secours et une flexibilité plus grande pour connecter le réservoir au moteur.
Test:
Il faudra des tests détaillés des deux additifs dans un moteur à réaction. Cela serait fait dans une installation d'essais de moteurs statiques, où
l'échappement peut être analysée au regard de la taille des particules et de leur type. La sécurité et les effets sur le moteur, les pompes,
les réservoirs de carburant, etc devront tous être vérifiés. Ces tests sont cependant le pain et le beurre de l'industrie aéronautique et pourrait être complétés très
rapidement.
Assumant l'achèvement satisfaisant d'un tel test de moteur, les tests atmosphérique pourraient commencer presque immédiatement.
Tests Atmosphérique:
Des scénarios de tests atmosphérique ont déjà été définis par des experts dans le domaine et pourraient être mis en œuvre presque immédiatement après
l'installation et les tests des moteurs à réaction. Par exemple, la suggestion de Gregory Benford de l'Université de Californie, décrits dans
"Saving the Arctic".
Ces tests pourraient être fait pour chacun des additifs proposés, dans différents domaines ou à des moments différents, à des altitudes différentes pour
comparer l'efficacité.
Les dangers Possibles de Particules de Silice.
- De même que la silice est du sable c'est aussi chimiquement de l'amiante. Cependant les particules dans la stratosphère formeront presque certainement des
noyaux de condensation de pluie haut dans la troposphère et ne formeront jamais de la poussière respirable au niveau du sol. Les
quantités sont aussi minuscules en comparaison d'autres particules de véhicules, des processus industriels et de la poussière fouettée par le vent naturel.
- Les particules de silice pourraient causer une abrasion ou un problème d'érosion à la fin de queue du moteur à réaction comme elles condensent des gaz
chauds. (Elles pourraient même condenser comme le carbure de silicium ! Seulement le test démasquera des problèmes possibles.)
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