Résultats des analyses des filaments tombés du ciel !
Ces analyses réalisées par le laboratoire Analytika représentaient le chaînon manquant pour prouver de manière irréfutable à la fois la réalité et la dangerosité des chemtrails. C'est aujourd'hui chose faite et les résultats sont éloquents. À noter que l'initiative ainsi que le coût des analyses a été citoyenne, les autorités se moquant éperdument de la santé publique.
C'est d'ailleurs pourquoi des analyses gouvernementales n'ont jamais été diligentées dans la mesure où il est impossible que de telles pratiques soient ignorées des pays européens.
Au contraire, on peut affirmer sans l'ombre d'un doute qu'ils participent activement à cette mascarade tandis que le mouvement écologiste serbe a déjà dénoncé ces pratiques et le président équatorien également. Heureusement que certains députés ayant encore une conscience professionnelle et une réelle envie de représenter les intérêts de la population tel que Gérard Bapt, ont déjà fait part du problème à l'Assemblée nationale fin 2012. L'association citoyenne pour le suivi, l'étude et l'information sur les programmes d'intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA) a d'ailleurs attiré l'attention de ce député sur les résultats de ces analyses afin qu'il en parle à l'Assemblée nationale. On se demande bien quel argument langue de bois vont-ils encore trouver pour expliquer ce phénomène?
Car il ne faut pas s'y tromper, des sujets sensibles sont régulièrement abordés à l'assemblée (notamment la toxicité de l'aluminium vaccinal) et les réponses évasives du ministère de la santé ont à chaque fois conduit à enterrer les polémiques pour passer à autre chose, c'est leur spécialité soyez-en sûr. L'appellation "ministère de la santé" est une vaste farce d'ailleurs vu que leur rôle a de tout temps été davantage de protéger les intérêts des industriels et couvrir leur manipulation sur notre santé: il s'agit bien du ministère de la maladie et je pèse mes mots. Voyons un peu quelles sont les conclusions des analyses du laboratoire.On retrouve également des composants non identifiés, ce qui montre bien que de la recherche militaire a été pratiquée pour mettre au point certain de ces composants qui sont inconnus du monde scientifique actuel. :
"Plusieurs échantillons de « filaments aéroportés » collectés entre Novembre et Décembre 2012 sur l'ensemble du territoire français ont été adressés à notre laboratoire, en provenance de Thénioux, de Saint Clément des Levées, de Saint Martin de Crau et de Malabat (points de collecte localisés sur la carte de France page 118).
Pour chacun de ces échantillons, deux expériences de désorption thermique directe à Point-de-Curie ont été conduites à 445°C, d'une part directement et d'autre part avec méthylation « in-situ » (un processus favorisant la détection des composants polaires éventuellement présents).
Les différents composés organiques engendrés dans cette série de huit expériences ont -chaque fois été séparés par chromatographie gaz et identifiés par spectrométrie de masse (GC/MS).
Les données obtenues ont été interprétées et les résultats obtenus sont détaillés dans le présent rapport analytique.
Il apparaît que c es « filaments aéroportés »sont des polymères organiques complexes, contenant des composants chimiques de synthèse, comme le démontre le dépistage GC/MS systématique réalisé sur les nombreux produits de leur décomposition thermique, parmi lesquels figurent plusieurs molécules couramment rencontrées dans les carburants et lubrifiants de réacteurs d'aviation.
Les quatre échantillons étudiés contiennent plusieurs composés aromatiques toxiques synthétiques (phthalates) et trois d'entre eux contiennent du DEHP, un représentant de cette famille de produits chimiques particulièrement redouté à cause de ses propriétés de perturbateur endocrinien.
Toutes les molécules organiques, en particulier les composés hétérocycliques, présents dans ces échantillons de « filaments aéroportés », sont préoccupantes, -à la fois sur les plans de la santé publique et de leur impact environnemental.
Nous pensons que ces « filaments aéroportés »pourraient résulter de la recombinaison des substances rejetées en haute altitude dans l'atmosphère par les réacteurs d'aviation.
Compte-tenu de la croissance du trafic aérien mondial, les résultats de cette étude préliminaire nous paraissent justifier l'attention de l'opinion publique et des médias sur cette forme nouvelle de pollution atmosphérique.
Pour que la communauté scientifique se saisisse rapidement du sujet pour le comprendre, et que les autorités de tutelle de l'aviation, civile ou militaire, puissent alors contrôler efficacement cette nouvelle forme de pollution atmosphérique globale."
Ce rapport, ainsi qu'une lettre de l'ACSEIPICA et une déclaration du comité scientifique italien Galileo ont été envoyés en recommandé entre autre au ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie et à celui de la santé. On ne pourra donc pas dire qu'ils n'étaient pas au courant.
On notera au passage que le comité scientifique italien arrive aux mêmes conclusions et surtout il confirme la présence de métaux toxiques dans les prélèvements:
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